Les valeurs environnementales portées par les marques deviennent leur raison d’être, alors que la transformation numérique est un virage indispensable très énergivore ?
des entreprises déclarent le marketing de l'engagement comme une obligation.
disent que c'est une question de suivie.
Depuis la pandémie du covid 19, tout s’est accéléré, les marques avaient déjà conscience du phénomène, la tendance de fond était latente. Aujourd’hui, l’engagement est devenu une priorité à communiquer… 1/2 consommateur se dit prêt à boycotter les entreprises non respectueuses de l'environnement.
« Hier on vendait des yaourts, aujourd’hui on sauve la planète ! »
Est-ce porteur sur le long terme ou opportuniste ?
Certains sont convaincus de l’influence que cela génère et l’engagement devient un indicateur de performance. Par contre, se décréter engager ne suffit pas, il faut en apporter des preuves par le terrain et pas n’importe comment. Rendre sa communication publique sur le sujet se prépare et ne se fait surtout pas dans la précipitation. Les prises de paroles doivent être directes, sans artifice, avec beaucoup d’humilité basées sur le collectif. 3 questions simples à se poser pour ne pas s’égarer : qui parle ? à qui dois-je parler ? par quels canaux ?
Comment ?
Il faut une communication basée sur l’essentiel sans matière grasse donc il y a un désintérêt pour la publicité et notamment digitale (baisse de - 18 % les 6 derniers mois) jugée comme intrusive. Les marques trop tournées sur elles mêmes ont suscité l’indifférence ou le rejet pendant la crise. Les médias d'information sont des bons relais pour affirmer son engagement pour une marque. La visibilité est amplifiée par des podcasts, les replays, les réseaux sociaux du chroniqueur, du journaliste.
40% des journalistes estiment avoir un rôle à jouer pour changer les comportements en faveur de l'environnement.
Les médias publics, institutionnels sont les portes-paroles des grands mouvements sociaux. La communication a le 1er pouvoir d’influencer les comportements en bien autant la valoriser. Les médias publics comme France Info, France Télévisions ont leur épingle du jeu à tirer. La publicité des produits mal sains ou pollueurs est en phase d'être règlementée … comme la loi Evin l’a fait pour l’alcool et les cigarettes dans les années 90.
Notre 1ère conclusion
Au même titre que les journalistes, en tant qu'attaché de presse, nous devons agir dans ce sens avec les marques.
La presse change en même temps que ses publics, nous avons repensé notre approche vis à vis des journalistes pour aller tous dans le même sens.
Notre nouvelle charte de communiqués classés par état d’esprit :
Envie d'en savoir plus, nous sommes à votre disposition.
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